Depuis ma chute d’équitation il y a quelque semaines, la tête dans le sable, mon nez craque dès que je passe le doigt sur son arête. C’est grave docteur ?

A 11 ans, j’ai eu la bonne idée de jouer à 3 petits chats avec un camarade un peu Brutus qui tapait de plus en plus fort. J’ai eu la formidable idée de retirer mes mains avant de dire que je n’avais plus envie de jouer… Pile au moment où il allait taper avec son poing. Depuis, j’ai l’arête décalée, narine gauche plus petite que la droite. Et en hiver, avec les rhumes, c’est important.

Seconde idée formidable, monter a cru, après une dizaine d’année sans pratique, un vieux cheval aveugle d’un oeil. Première chute. Deuxième chute je pense à comment annoncer à mes parents que je ne marcherai plus jamais, à la culpabilité de mon amie qui avait le cheval et à mon date du lendemain que je ne vais pas pouvoir chevaucher.

Bref, après un an de souffrances, dont 2 mois de backpack, je rencontre un ostéopathe spécialisé dans les blessures sportives et en deux séances, c’est la libération. Visiblement les mouvements de l’ostéo consultée d’urgence après la chute sont des manipulations faites pour soulager les femmes enceintes… Mystère.

Mon nez et mon dos restent fragiles, ce sont mes talons d’Achille. Le dos malmené par mon métier à porter des enfants et me courber sur leurs petits bureaux.

Un étirement conseillé pour les cervicales par ma chiroprateuse : rentrer le menton dans son cou. (Faciès sexy assuré) . Je pose ça là.

Bref, et toi, des fragilités ? Des cascades ?