Bonne vivante, définitivement ! Qu’est ce qui se cache derrière cet appétit sucré? Ces envies de salé? Ces hyperphagies nocturnes? Des grailloux gargantuesques irrépressibles?
Et ce découvert financier qui se creuse à mesure que les livres, les plantes et mes passions me tentent?
Je mange mes émotions. J’achète pour me rassurer. Je comble les plaies, les insécurités et les peurs par le sucre et les objets de culture que je peux posséder.
L’argent n’est que de l’argent, il n’est rien dans ces moments de faiblesse.
Un billet coupable, un billet malade, un billet tout en fragilité.
Et toi? Comment te rassures-tu ? Quelles sont tes « défauts », actes compulsifs? Qu’est ce que tu préférerais dissimuler sous le tapis plutôt que de le mettre dessus?
Je suis ouverte à tout conseil bienveillant, toute critique constructive pour lutter contre ces mauvais réflexes à la vie dure.
Je ne ne mange plus mes émotions, mais j’avoue acheter des livres parfois pour combler des insécurités…
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Ton commentaire me fait du bien, merci de cette confidence. D’une part car c’est possible de lutter et en finir avec les fringales émotionnelles, et d’autre part, parce que je ne suis pas seule.
Je me dis que les livres, c’est quand même super réconfortants et qu’il y a bien pire comme addiction.
Merci de me lire régulièrement, me comprendre et commenter 🙏☀️
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Je trouve aussi que les livres, c’est un moindre mal…
Avec plaisir 🙂
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Prendre le temps de ressentir et nommer ses émotions aide. Il m’arrive encore de trouver du réconfort dans la nourriture, c’est ce qui est le plus évident pour moi.
Sinon je me rassure en écrivant beaucoup beaucoup beaucoup et en m’achetant tout un tas de carnets!
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