
Étreintes champêtres
Contrainte dans les champs de l’être
Sur les hauteurs de mon cœur
Dans les profondeurs de mon corps
Sous les feuillages nus dans la nature
dans les herbes folles bondit notre luxure
S’étendre, s’attendre, entreprendre
S’apprendre, se prendre, se pendre
La chaleur du soleil, le feu quand on se mordille
L’humidité de nos baisers, le piquant des brindilles
Le chant des oiseaux, nos râles de plaisir
Besoin de toi, Envie de moi à assouvir
Dans ce décor bucolique
Urgence d’être l’unique
L’immensité de la forêtTout n’est que volupté La liberté de s’aimer ce qui y ressemble
Fluidité de nos peaux qui s’assemblent
L’intensité de nos regards
Fermeté et douceur de cet art
La cadence va et vient
s’accélère, ralentit, au rythme du vent
Bouches, fesses, cuisses, bras, cou, mains
Les corps frémissent et tremblent, bien avant
Que s’achève le paroxysme du désir divin
La petite mort, le morceau d’éternité, le bout de paradis
Tout n’est que volupté La liberté de s’aimer ce qui y ressemble
Fluidité de nos peaux qui s’assemblent
L’intensité de nos regards
Fermeté et douceur de cet art
La cadence va et vient
s’accélère, ralentit, au rythme du vent
Bouches, fesses, cuisses, bras, cou, mains
Les corps frémissent et tremblent, bien avant
Que s’achève le paroxysme du désir divin
La petite mort, le morceau d’éternité, le bout de paradis
La liberté de s’aimer ce qui y ressemble
Fluidité de nos peaux qui s’assemblent
L’intensité de nos regards
Fermeté et douceur de cet art
La cadence va et vient
s’accélère, ralentit, au rythme du vent
Bouches, fesses, cuisses, bras, cou, mains
Les corps frémissent et tremblent, bien avant
Que s’achève le paroxysme du désir divin
La petite mort, le morceau d’éternité, le bout de paradis
Le plaisir de l’oubli
Allongés dans les fougères
A la fois comblés, honteux, ravis et fiers
Savourer l’instant présent, le partage
Ce bonheur fugace comme un mirage.
